Plus tous mes partages sur Facebook, qui peut être très utile si on l'utilise à bon escient, sans oublier ma lettre adressée à Vincent Peillon,
Si j’étais
poète, je ferais des rimes
Si j’étais
poète, je compterais mes piedsSi j’étais poète, je serais rebelle
Si j’étais poète, je crierais au monde
Que même si la poésie ne peut pas mourir
On peut l’aider à vivre.
Si j’étais poète j’implorerais, je supplierais
Je dirais à ceux qui ont le pouvoir
De permettre à ce « Printemps » de vivre
Et si j’étais Président de la république
Je dirais à mon Ministre
- « Mon Cher Ministre !
Je viens d’apprendre que le Printemps des Poètes allait disparaître ?
Il n’en n’est pas question !
Faites en sorte que celui-ci vive.
D’ailleurs, moi-même, à mes heures perdues je suis un peu poète,
Vous comprenez donc ce que je veux dire ? »
Quant à moi je ne suis pas poète, mais laissez moi profiter
encore longtemps de ce Printemps.
Clairette Gras
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